Maire de Levallois-Perret, député UMP des hauts-de-Seine, voici comment Patrick Balkany voit la France ...
Croyant s'exprimer sur une télévision américaine, ce proche de Nicolas Sarkozy a affirmé qu'"il n'y a pas de misère en France" et que les pauvres "vivent très bien".
Patrick Balkany a en effet participé à un "duplex" organisé par la chaîne "CapitolOne" pour son émission "Politics Prime" consacrée aux violences urbaines. En fait, la chaîne et l'émission n'ont jamais existé et le journaliste n'est autre que l'un des Yes Men, Andy Bichlbaum.
Cela en dit long sur les élus de droite censés représenter et résoudre les problèmes du peuple..
Patrick Balkany : Quatre mandats de députés mais combien de scandales ?
En mai 1996, Patrick Balkany a été condamné (décision confirmée en appel le 30 janvier 1997) par la 9e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre, à quinze mois de prison avec sursis, 200 000 francs d'amende et deux ans d'inéligibilité. Il avait rémunéré aux frais du contribuable levalloisien trois personnes désignées comme des employés municipaux mais qui ne s'occupaient que de son appartement de Levallois-Perret et de sa résidence secondaire près de Giverny
En 1997, sa maîtresse l'accuse publiquement de l'avoir contrainte à une fellation sous la menace d'une arme à feu.
des Le 28 juillet 1999, la Chambre régionale des comptes d'Ile-de-France a condamné Patrick Balkany pour avoir employé, pendant plusieurs années, trois agents municipaux de Levallois à son usage personnel. Au terme de ce jugement, le maire a été contraint de rembourser à la ville le montant des salaires : 523 897,96 euros. Son épouse Isabelle (avec qui il est alors en instance de divorce) -qui est vice-présidente du conseil généralHauts-de-Seine et conseillère municipale à Levallois-Perret- a été condamnée à la même peine d' emprisonnement pour "prise illégale d'intérêts".
Ayant interjeté l'appel devant le Conseil d'État qui a confirmé le jugement de la Chambre, le 27 juillet 2005, Patrick Balkany a étalé le remboursement des salaires à la ville de 2000 à 2006.
Patrick Balkany est aussi redevable à la municipalité de Levallois des intérêts que les juges ont fait courir à compter du 31 mai 1995, date du licenciement par le maire des agents communaux, soit un montant de 230 865,57 euros. En février 2007, le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, Thierry Breton, a été saisi par Patrick Balkany d'une demande de remise gracieuse de cette dette. Le 12 février 2007, le conseil municipal de Levallois (à majorité UMP) a donné son accord préalable à la requête de Patrick Balkany.
En aout 2007, Nicolas Kayser-Bril démontre, grâce à l'outil Wikiscanner, que la mairie de Levallois-Perret a modifié plus de cent fois cette page sur Patrick Balkany. Le but étant d'effacer les informations donnant une mauvaise image du maire, comme le canular des Yes Men
JC Seclin, Templemars, Vendeville, Wattignies, Haubourdin, Emmerin, Houplin-Ancoisne, Santes, Wavrin, Don, Allenes les Marais, Carnin, Annoeullin, Bauvin, Provin, Gondecourt, Avelin, Martinsart, Attiches, Phalempin, Tourmignies, Pont-à-Marcq, Mérignies, La Neuville, Wahagnies, Libercourt, Oignies, Ostricourt, Moncheaux, Raimbeaucourt, Leforest, Faumont, Mons-en-pévèle, Thumeries,